samedi 31 janvier 2009

Articles parus dans la presse le 30 et 31 janvier sur le conseil municipal du 29 janvier 2009




extrait du télégramme du 30 janvier 2009

Sous le titre " Budget. Plus d'impôts, moins d'ivestissements"


"... Moins de dépenses dans les services.

Les dépenses de fonctionnnement de la commune devront elles aussi se serrer la ceinture. Les charges de personnel qui croissaient à nombre constant d'agents, de l'ordre de 4 à 5% l'an, n'augmenteronts que de 2,47% cette année. Comme l'a précisé, Mme Le Nevé, les dépenses de personnel seront "maitrisées". Exemple: des contrats à durée déterminée ne seront pas renouvelés; des heures d'entretien de locaux seront réduites; les besoins en personnel saisonnier seront revus. Au total, 280 000 euros de dépenses seront économisées, côté personnel.
Cela s'accompagne aussi d'une réduction de la programmation culturelle qui sera ramenée de 150 000 euros à 90 000 euros. De même, trois jeudis de Ploemeur seront supprimés, soit 40 000 euros d'économie.
Régime sec donc pour la commune qui, cependant, a souhaité maintenir au même niveau l'ensemble des subventions aux associations..."


extrait du Ouest-france du 31 janvier 2009


Sous le titre " Des coupes dans les dépenses de la commune"


"... Dépenses de personnel.

Les contrats à durée déterminée ne seront pas renouvelés. Les volumes d'heures d'entretien des bâtiments communaux seront réduits. Le chantier d'insertion de placement extérieur pour les détenus ne sera pas reconduit. Les besoins en personnel saisonnier vont être redéfinis. La modification des emplois du temps des agents des écoles, suite à la suppression des cours le samedi matin, permet de réduire les effectifs de l'équivalent de deux agents temps plein. Est à l'étude la réorganisation des activités de la piscine. "On ne peut pas perdre 30 000 entrées par an sans mener cette réflexion" pointe le maire qui regrette qu'il n'y ait pas de concertation entre les communes pour ces équipements..."



vendredi 30 janvier 2009

Mouvement du 29 janvier : Forte mobilisation dans le secteur public




Les organisations syndicales ont réussi leur pari : le mouvement social du 29 janvier a été un succès. « Plus qu’en 2007 », « plus qu’en 1995 », ont estimé plusieurs leaders syndicaux présents dans les cortèges dans toute la France, ajoutant que les salariés du privé étaient aussi très présents à l’occasion de ce mouvement.

Selon le ministère de la fonction public, la participation des agents de la fonction publique d’Etat était estimée, à 17h00, à 33,1 %. Avec une pointe à 53,7 % au ministère du Budget, ou de 37,1 % dans l’Education nationale. Selon l’Union générale des fédérations de fonctionnaires CGT, c’est plutôt une moyenne de 40 à 45 % qui a été atteinte.
Dans la fonction publique territoriale, à la mi-journée, le taux de participation était estimé à 18 % (12 à 15 % lors du mouvement du 20 novembre 2007). La fonction publique hospitalière s’est elle aussi fortement mobilisée, avec 19,6 % de participation (10,9 % le 20 novembre 2007).
Les syndicats de fonctionnaires ont aussitôt demandé au gouvernement de prendre acte de ce mouvement et de modifier sa politique, notamment en matière de rémunérations, de suppressions de postes, et de soutiens aux services publics.

Mobilisation dans les transports publics urbains

Selon l'Union des transports publics et ferroviaires (UTP), 32% des salariés des réseaux de transports urbains de province étaient en grève, sur un effectif total de 43.000 salariés dans la branche.
Des préavis de grève, allant de 55 minutes à 24 heures, avaient été déposés dans les réseaux de 77 villes. Ce taux de 32% est un taux "moyen", a indiqué une porte-parole de l'UTP, compte tenu du grand nombre de préavis déposés, en particulier dans les 24 plus grands réseaux.
Dans un tiers des réseaux où un préavis avait été déposé, le service était supérieur à 80%, dans un tiers entre 50 et 80% et dans un dernier tiers inférieur à 50% (Ajaccio, Clermont-Ferrand, Dijon, Douai, Le Havre, Marseille, Nice, Reims...).
Soixante des 170 réseaux français fonctionnaient normalement jeudi matin, aucun préavis de grève n'y ayant été déposé.


A l’hôpital

Le taux de grévistes à l'hôpital a doublé par rapport à la journée du 20 novembre 2007 contre la réforme des régimes spéciaux, selon le gouvernement, les principaux syndicats hospitaliers ayant voulu aussi exprimer leur opposition au projet de loi Bachelot sur la santé.
Selon la CGT-santé, premier syndicat des hôpitaux, le taux de grévistes ne tient compte que des personnes effectivement absentes à un moment donné, excluant les grévistes assignés par les autorités et les salariés ne travaillant pas aux heures comptabilisées (près d'une personne sur trois). Le syndicat évalue, grosso modo, le taux de grévistes à près de 50%, a précisé un de ses responsables, Bruno Jardin.

Chez les médecins, ce taux s'élève à 10,36%, selon le ministère de la Santé. Pour la présidente de l'un des principaux syndicats de médecins hospitaliers, l'INPH, Rachel Bocher, les praticiens "font des grèves tournantes de deux heures pour ne pas gêner les usagers". De ce fait, "il y a probablement cinq fois plus de grévistes, ce qui est énorme", a-t-elle déclaré.
Le projet de loi "Hôpital, patients, santé, territoires", qui doit être examiné par le Parlement vers le 10 février, suscite une contestation croissante, les principaux syndicats d'infirmiers ou médecins ayant demandé d'importantes modifications, voire purement et simplement sa "suspension" ou son "retrait".


mercredi 21 janvier 2009

Le 29 janvier, tous mobilisés pour une relance sociale !


10h - Boulevard Cosmao Dumanoir - Lorient







Se faire entendre pour obtenir des résultats concrets pour les salariés.
Tel est l’objectif de la journée d’action du 29 janvier.


Mo-bi-li-sés ! Ce 29 janvier, les adhérents de la CFDT sont invités, comme l’ensemble des salariés, à faire entendre leur voix pour réclamer d’autres mesures face à la crise. Cette journée d’action, menée conjointement par huit organisations syndicales (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires, FSU), se doit d’être un temps fort majeur. « Mobilisation pour une relance sociale », tel est le slogan retenu par la CFDT pour ce rendez-vous syndical qui prendra différentes formes, selon les régions et les secteurs professionnels.


Dire le ras-le-bol des salariés

La mobilisation du 29 janvier a un double objectif : amplifier la voix des salariés, des demandeurs d’emplois et des retraités, premières victimes d’une crise dont ils ne sont pas responsables, et obtenir des mesures concrètes en leur faveur. Car pour l’heure, la voix du monde du travail ne semble guère avoir été entendue par les pouvoirs publics et le patronat, alors que se multiplient les réductions d’activités, les mesures de chômage partiel, les plans sociaux, dans un contexte où le pouvoir d’achat subit les effets de la crise et alors que les réformes tous azimuts du gouvernement enfoncent un coin dans les garanties collectives. « Les mesures prises par le gouvernement en direction des salariés et plus généralement en direction des populations fragilisées par leur faible rémunération, fragilisées dans leur emploi, fragilisées par leur endettement sont largement moins importantes, en termes de moyens, que celles prises en direction du système bancaire ou en matière d’aides aux entreprises », rappelle la CFDT. Pour l’heure, il semblerait que les salariés et leur famille n’aient guère pesés dans la balance des mesures de relance. « Le mécontentement monte dans les entreprises, avertissait François Chérèque dans une récente interview. Il y a ça et là des réactions de ras-le-bol. Notre rôle, en tant que syndicats, c’est de faire en sorte qu’elles s’expriment ».


Obtenir des avancées concrètes pour les salariés

La mobilisation du 29 vise aussi et surtout à obtenir des résultats concrets. « Notre déclaration intersyndicale a pour objectif de répondre aux attentes des salariés », a souligné Marcel Grignard, secrétaire nationale de la CFDT. "L'appel du 29 janvier", le texte commun aux huit organisations syndicales, détaille ainsi cinq axes majeurs de revendications : donner la priorité au maintien des emplois, améliorer le pouvoir d’achat et réduire les inégalités, orienter la relance vers l’emploi et le pouvoir d’achat, préserver et améliorer les garanties collectives, réglementer la sphère financière internationale. François Chérèque a résumé les attentes de la CFDT : « Nous demandons un deuxième plan de relance, centré celui-là sur le pouvoir d’achat. Il faut aussi aller plus loin sur les contreparties demandées aux entreprises et aux banques. Par ailleurs, nous demandons un moratoire sur les suppressions d’emploi dans la fonction publique pour rediscuter de ce qu’on attend aujourd’hui de l’État. Nous voulons aussi rediscuter de la loi sur les 35 heures. »


Réclamer un deuxième plan de relance

Il s’agit de tout mettre en œuvre pour préserver l’emploi et les salaires. Les mesures de chômage partiel, l’utilisation des RTT ou des congés payés pour faire face à des réductions de l’activité doivent faire l’objet de négociations avec les représentants du personnel. Autre revendication phare, l’utilisation de ces périodes pour « développer la formation professionnelle et renforcer les compétences des salariés ». En ce qui concerne le pouvoir d’achat, la CFDT ne cesse de le rappeler : toutes les entreprises ne vont pas mal. C’est pourquoi elle plaide pour des négociations salariales qui permettent d’assurer au moins le maintien du pouvoir d’achat des salariés et ambitionne de réduire les inégalités, notamment entre hommes et femmes. Relance par la consommation, mesures en faveur du logement et de la protection sociale, investissement dans l’éducation, la recherche, la formation et le développement durable, "l'appel du 29 janvier" réclame un deuxième plan de relance qui tienne compte du volet social de la crise économique. C’est aussi à des mesures de responsabilité qu’appellent les huit organisations syndicales : responsabilité au niveau national, avec la conditionnalité des aides publiques et des allègements de charge aux entreprises socialement vertueuses ; responsabilité au niveau international, avec l’appel à la régulation d’une sphère financière internationale qui permette une meilleure répartition des richesses et le respect des droits fondamentaux et sociaux.

Donner de la voix, obtenir des résultats, réaffirmer la force du syndicalisme, les ambitions de la journée du 29 janvier sont fortes. C’est le moment de leur donner du poids.



lundi 19 janvier 2009

EXAMEN PROFESSIONNEL TECHNICIEN SUPERIEUR TERRITORIAL CHEF




Examens professionnels TECHNICIEN SUPERIEUR TERRITORIAL CHEF (Catégorie B - Femme / Homme)


Conditions d’accès :

L'examen professionnel de technicien supérieur chef est ouvert

- aux techniciens supérieurs comptant six ans de services en cette qualité, ayant atteint le 7ème échelon de leur grade depuis au moins six mois

- aux techniciens supérieurs principaux sans aucune condition d'ancienneté.

Retrait des dossiers d’inscription : du mardi 3 mars 2009 mardi 24 mars 2009

par télé inscription sur le site Internet : www.cdg56.fr, minuit, heure métropole, dernier délai. En cas de difficultés d’accès, contacter le Centre de Gestion du Morbihan.

Retour des dossiers d’inscription : du mardi 3 mars 2009 au mercredi 1er avril 2009 :

- par voie postale au Centre de Gestion du Morbihan (le cachet de la Poste faisant foi) ;
- à l’accueil du Centre de Gestion du Morbihan (17 h 30 dernier délai).

Dates et lieux de l’épreuve : à partir du 3 juin 2009 à Vannes en Morbihan

Centre de Gestion du Morbihan
Service concours
6 bis, rue Olivier de Clisson
BP 161
56005 Vannes Cedex

samedi 17 janvier 2009

2008, l'année où le gouvernement a voulu tuer les "35 heures"




Au moment où Xavier Bertrand quitte ses fonctions ministérielles, quel bilan tirer de la remise en cause du temps de travail ? Panorama.

Nicolas Sarkozy avait annoncé son quinquennat sous le signe de la « rupture ». L’année 2008, par son actualité parlementaire et économique, n’aura pas manqué de satisfaire cette ambition. Dès le début de l’année 2008, alors que le droit du travail français se voit enrichi par la signature de l’accord sur la Modernisation du marché du travail, la CFDT ne cache pas ses doutes concernant le slogan gouvernemental « travailler plus pour gagner plus ». À commencer par la volonté de généraliser les heures supplémentaires. Favorisées par la loi Tepa d’août 2007, celles-ci sont statistiquement en hausse. Toutefois, leur succès reste mesuré. En effet, les chiffres régulièrement délivrés par la Dares doivent prendre en compte les effets de substitution, beaucoup de personnes effectuant déjà des heures supplémentaires non payées ou non déclarées. Et, par effet d’arbitrage, le recours aux heures supplémentaires se fait en réalité au détriment de l’intérim et de l’embauche. Un sujet qui ne manque d’ailleurs pas de révolter le secrétaire général de la CFDT. En rendant les heures supplémentaires « moins chères que les embauches », le gouvernement a non seulement incité les entreprises à ne pas créer d'emplois mais aussi à « supprimer des emplois, en particulier des CDD ou des missions d’intérim. C’est une faute d’anticipation grave », a-t-il affirmé, appelant les entreprises à aller « au bout de leurs responsabilités, en assumant des contreparties en échange des aides de l’État ».

Mais les ambitions du gouvernement en terme de temps de travail ne s’arrêtent pas aux seules heures supplémentaires. Sans même avoir le recul suffisant sur les effets de la loi Tepa pour les salariés comme pour la productivité des entreprises1, se trame dès janvier 2008, dans les coulisses ministérielles « la rédaction d’un projet de loi pour augmenter le temps de travail » avec « une application quasi immédiate, avant l’été ». Une crainte confirmée quelques mois plus tard par un projet de loi portant sur la rénovation de la démocratie sociale assortie d’une réforme du temps de travail : en reformulant certains articles négligeant la “position commune” des partenaires sociaux du 10 avril sur le temps de travail, le gouvernement choisit un passage en force pour imposer une déréglementation de la durée légale. Concrètement, cela se traduit dans les entreprises par un assouplissement du recours aux heures supplémentaires, au forfait et au contingent qui donne la possibilité de remettre en cause les 35 heures en contournant le dialogue social. « Une mise à sac », fustigera la CFDT, qui n’aura de cesse, tant par le biais des mobilisations que des “250 lettres” envoyées aux députés, de dénoncer « un dialogue social bafoué » et des risques sans précédent en termes de conditions de travail pour les salariés.

Or, face à ce démantèlement des 35 heures, la majorité des entreprises ne semble pas percevoir l’urgence de le mettre en œuvre. Elles préfèrent un statu quo que semblent même adopter les entreprises du CAC 40, dont certaines iront jusqu’à se dire « pleinement satisfaites du système actuel ». Mais là n’est pas la seule raison : alors que les employeurs ont toute latitude pour gérer les rythmes de travail de leurs équipes, les effets de la crise balayent ce besoin de travailler davantage…

Les 35 heures, amortisseur de la crise

Peu à peu, les 35 heures passent donc du statut de « carcan » à celui de soupape de sécurité, dans un monde industriel français percuté par la récession, notamment dans l’industrie automobile2. Dès lors, les salariés sont encouragés à solder leurs congés, jours de RTT et autres comptes épargne-temps (CET) qu’on souhaitait il y a encore peu leur faire monétariser. « Effet paradoxal », diront certains. « Frappant », estime pour sa part la CFDT, qui constate que les entreprises se saisissent progressivement de tous les dispositifs rendus possibles par la baisse du temps de travail afin de limiter la crise. Pour Marcel Grignard, secrétaire national de la CFDT, « c’est l’ironie de l’histoire : utiliser l’acquis social des RTT des salariés comme amortisseur d’une crise dont ils ne sont pas responsables ! ». Mais pour combien de temps encore ?

(1) Une enquête de la Dares sur l’évolution du recours aux heures sup’ suite à la loi Tepa auprès des entreprises est à paraître en février 2009.

(2) 6 000 suppressions d’emplois ont été annoncées chez Renault, 3 550 chez PSA.

jeudi 15 janvier 2009

Tous sur le pont le 29 janvier 2009


APPEL DES ORGANISATIONS SYNDICALES CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES, UNSA.



Réunies le 15 décembre pour la troisième fois en intersyndicale, les huit organisations CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, Unsa, ont décidé d’appeler à une journée nationale de mobilisation interprofessionnelle le jeudi 29 janvier 2009.


La crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche durement une grande partie des salariés dans leurs emplois et leurs revenus. Alors qu’ils n’en sont en rien responsables les salariés, demandeurs d’emploi et retraités, en sont les premières victimes. Elle menace l’avenir des jeunes, met à mal la cohésion sociale et les solidarités ; elle accroît les inégalités et les risques de précarité. Surmonter cette crise implique des mesures urgentes d’une autre nature que celles prises par l’Etat et les entreprises, pour être au service de l’emploi et des rémunérations.

C’est pourquoi, les organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES, UNSA) appellent les salariés du privé et du public, les chômeurs et les retraités, à une journée nationale de mobilisation interprofessionnelle le 29 janvier 2009 : elle donnera lieu dans tout le pays à des grèves et des manifestations. Elles appellent à agir massivement et interpeller les responsables gouvernementaux, les responsables patronaux et les employeurs

- pour défendre l’emploi privé et public,

- lutter contre la précarité et les déréglementations économiques et sociales,

- exiger des politiques de rémunérations qui assurent le maintien du pouvoir d’achat des salariés, des chômeurs et des retraités et réduisent les inégalités,

- défendre le cadre collectif et solidaire de la protection sociale,

- des services publics de qualité qui assurent en particulier tout leur rôle de réponse aux besoins sociaux et de solidarité.


samedi 10 janvier 2009

Examen professionnel de Rédacteur Territorial



AVIS D'EXAMENS PROFESSIONNELS


Le Centre de Gestion de la Fonction Publique
Territoriale du Finistère
ouvre et organise, au titre de l ’année 2009, pour les
collectivités et établissements publics territoriaux des Côtes
d’Armor, du Finistère, d’ Ille et Vilaine et du Morbihan


Examens professionnels d'accès par voie de promotion interne au
cadre d'emplois des RÉDACTEURS TERRITORIAUX
(Catégorie B - Femme / Homme)

Conditions d’accès :

il existe 2 examens professionnels d’accès au cadre d’emplois des rédacteurs territoriaux :

Le premier : ouvert aux fonctionnaires appartenant au cadre d’emplois des adjoints administratifs qui sont chargés du secrétariat de mairie dans une commune de moins de 2 000 habitants ou d’un établissement public local assimilé à une commune de moins de 2 000
habitants et qui justifient d’au moins huit ans de services effectifs, y compris la période normale de stage, dans un cadre d’emplois de catégorie C, dont quatre ans accomplis au titre des missions précitées.

Le deuxième : ouvert aux fonctionnaires de catégorie C comptant au moins dix ans de services effectifs, y compris la période normale de stage. Cependant, en application de l'article 13 du décret n° 85-1229 du 20 novembre 1985 modifié relatif aux conditions générales de recrutement des agents de la Fonction Publique Territoriale, les candidats peuvent subir les épreuves d’un examen professionnel au plus tôt un an avant la date à laquelle ils doivent remplir les conditions d'inscription au tableau d’avancement ou sur la liste d'aptitude au grade d'accueil ou au cadre d'emplois d'accueil fixées par le statut particulier.

Retrait des dossiers d’inscription : du mardi 10 février 2009 au lundi 2 mars 2009 par télé inscription sur le site Internet : www.cdg29.fr, minuit, heure métropole, dernier délai. En cas de difficultés d’accès, contacter le Centre de Gestion du Finistère.

Retour des dossiers d’inscription : du mardi 10 février 2009 au mardi 10 mars 2009 :
- par voie postale au Centre de Gestion du Finistère (le cachet de la Poste faisant foi) ;
- à l’accueil du Centre de Gestion du Finistère (17 h 00 dernier délai).

jeudi 8 janvier 2009

Les dispositifs de formation d’intégration et de professionnalisation pour les agents de catégorie C




La loi du 19 février 2007 relative à la formation tout au long de la vie prévoit une formation statutaire d’intégration et de professionnalisation.

La formation des fonctionnaires territoriaux, désormais conçue comme un processus qui se déroule tout au long de la carrière, est un enjeu majeur pour les collectivités territoriales dans l’atteinte de leurs objectifs et pour la réussite de leurs missions de service public.

Le Centre national de la fonction publique territoriale est chargé de l’organisation et de la mise en oeuvre de ces formations et se positionne aux côtés des collectivités territoriales et de leurs agents en matière de formation professionnelle.

Qui est concerné ?

• Tous les fonctionnaires de catégorie C (hors filières police et
pompiers).


La formation d’intégration doit permettre aux fonctionnaires nouvellement nommés de :

• se situer en tant qu’acteur du service public local dans la collectivité
territoriale,

• se situer dans la fonction publique territoriale,

• identifier le système de formation dans la fonction publique
territoriale

Elle intervient obligatoirement dans la première année qui suit la nomination du fonctionnaire dans son cadre d’emplois. La titularisation est subordonnée au respect de l’obligation de suivi
de la formation d’intégration. L’autorité territoriale qui procède à la nomination d’un fonctionnaire relevant de la formation d’intégration en informe la délégation régionale concernée, en vue de l’organisation de sa formation. Cette formation s’appuie sur des méthodes pédagogiques interactives mobilisant l’expérience des stagiaires.

La formation de professionnalisation intervient à plusieurs moments de la carrière :

• Elle permet l’adaptation des fonctionnaires au premier emploi,
dans les deux années qui suivent la nomination dans un cadre
d’emplois.

• Elle permet le maintien à niveau des compétences tout au long de
la carrière, suivant une périodicité de 5 ans.

• Elle favorise la prise de poste dans les 6 mois qui suivent l’affectation
sur un poste à responsabilité.

Ces différents types de formation de professionnalisation obéissent à des durées plancher et plafond en fonction des besoins de l’agent. Les modalités de suivi et le contenu des formations de
professionnalisation de chaque agent sont arrêtés en concertation avec l’autorité territoriale.


Les attestations de suivi délivrées par le CNFPT :

À l’issue de chaque session de formation d’intégration et de professionnalisation, le CNFPT délivre une attestation de suivi à l’autorité territoriale et à l’agent précisant l’intitulé et la durée de la formation suivie. Cette attestation est versée au dossier individuel de l’agent qui peut la faire figurer dans son livret individuel de formation.


mercredi 7 janvier 2009

Intersyndicale : les mots d’ordre d’une mobilisation massive contre la crise


Les huit organisations syndicales ont défini les axes revendicatifs de la mobilisation du 29 janvier prochain. Entreprises et État sont appelés à mettre en place une série de mesures concrètes pour l’emploi, le pouvoir d’achat et les garanties collectives. Objectif : peser dans la relance, au service des salariés, demandeurs d’emploi et retraités.

Rendez-vous est pris, le 29 janvier, pour une « mobilisation massive et réussie ». Marcel Grignard, secrétaire national de la CFDT, a rappelé les enjeux de cette journée d’action intersyndicale, à l’issue d’une réunion qui a permis d’en arrêter les objectifs revendicatifs.

Face à la crise, CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires et FSU appellent à la mise en œuvre négociée de mesures de chômage partiel et d’utilisation des RTT ou des congés pour préserver l’emploi et les salaires. Au-delà de l’amélioration de l’indemnisation du chômage partiel, les huit organisations plaident pour que le dispositif s’applique à tous les salariés, y compris en deçà de dix-huit heures par semaine. Autre revendication de la déclaration commune, l’utilisation des périodes de baisse d’activité pour « développer la formation professionnelle et renforcer les compétences des salariés ». L’État est par ailleurs invité à « penser autrement » que dans une logique strictement comptable l’évolution des services publics, que ce soit en termes de qualité ou d’emploi.

Des aides conditionnées à des mesures sociales

L’intersyndicale demande en outre de cibler et de conditionner les aides publiques et les allègements de charges à des comportements vertueux en termes de maintien de l’emploi et de politique salariale, par la conclusion d’accords permettant de maintenir le pouvoir d’achat et de réduire les inégalités.

L’État est également rappelé à ses responsabilités, en vue d’une relance économique orientée vers les salariés, demandeurs d’emploi, retraités et bénéficiaires de minima sociaux, premières victimes de la crise. Relance de la consommation, politique en faveur du logement, notamment social, réaffirmation du système de protection sociale, investissements ciblés en direction de la recherche, de l’éducation, de la formation, et plus largement, d’une économie du développement durable, les domaines d’action ne manquent pas.

Appelant au respect du dialogue social pour tous les projets et propositions de loi en lien avec la réglementation du travail, CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires et FSU réclament l’abrogation de la loi remettant en cause la réduction du temps de travail et le retrait du texte sur le travail du dimanche.

Autant de mesures concrètes qui permettraient d’amoindrir les conséquences d’une crise économique amplifiée par la crise d’un système financier international opaque, dont la régulation doit être portée par l’Union européenne. Marcel Grignard, secrétaire national de la CFDT, s’est dit « satisfait de cet appel », qui est « un compromis dans lequel la CFDT se retrouve tout à fait ». Désormais, il s’agit de se mobiliser, pour faire appliquer ces mesures dans les entreprises, par la négociation entre partenaires sociaux ou par des politiques publiques. Pour peser, rendez-vous le 29 janvier.


lundi 5 janvier 2009

Les fonctionnaires territoriaux de catégorie C augmentés



Le décret n° 2008-1449 du 22 décembre 2008 publié au JO le 31 décembre 2008 revalorise les échelles 3 à 6 de rémunération de la catégorie C à compter du 1er juillet 2008.

A la même date, est revalorisé l’indice brut afférent à l’échelon provisoire du grade d’agent de maîtrise principal créé pour l’accueil dans le cadre de l’application de l’acte II de la décentralisation, des adjoints techniques principaux de 1ère de classe de l’Etat (décret 2008-1449).


Catégorie C - échelles de rémunération

Le décret n° 2008-1449 du 22/12/2008 (J.O. du 31/12/2008) modifie les échelles de rémunération de la catégorie C : augmentation de certains indices bruts selon les échelons et échelles 3, 4, 5 et 6 (donc augmentation des indices majorés correspondants) :

  • Echelle 3 : du 1er au 9ème échelon
  • Echelle 4 : du 1er au 11ème échelon (sont exclus les 6ème, 8ème et 9ème)
  • Echelle 5 : du 1er au 9ème
  • Echelle 6 : du 1er au 5ème

Date d'effet : au 1er juillet 2008


vendredi 2 janvier 2009

Bonne Année 2009


Les représentants de la section CFDT Interco de la Ville de Ploemeur, les élus CTP CFDT et les élus CAP CFDT vous présentent leurs meilleurs voeux pour la nouvelle année.


Meilleurs voeux pour 2009 !

Une carte Bonne année ! MaxiMoi200