Les risques liés à ces rythmes atypiques apparaissent moins fréquents, mais d’une gravité accrue. L’INRS constate par ailleurs une augmentation du risque d’accidents sans arrêt de travail de 40 % liés à l’absence des 48 heures de repos hebdomadaires.
Les risques auxquels sont exposés les salariés sont multiples : troubles du sommeil et de la vigilance, augmentation modérée du risque de maladies cardiovasculaires, effets sur les performances cognitives (mémoire, langage), augmentation des dépressions, de l’anxiété et « surfatigue » pouvant provoquer à long terme une usure prématurée de l’organisme et une dégradation de l’état de santé.
(CDG29)